Nous pensons fondamentalement que le partage de nos expériences nous enrichit et nous aide à nous sentir moins seul(e) dans certaines situations, c'est pourquoi nous vous donnons la parole et déposons vos témoignages dans notre journal. "Because Sharing is caring".
Aujourd'hui nous vous proposons le témoignage d'Hélène (alias @sootsyy) qui vient nous raconter son expérience de personne avisée et entourée qui malgré tout, dans cette période vulnérable de post-partum, a douté au point de vouloir suivre les conseils d'une personne outre-passant ses propres compétences, dans le cadre de ce que le Dr Gisèle Gremmo-Féger a appelé La saga des « freins buccaux restrictifs » chez l’enfant allaité.
@elodiefromentphotographie
"Je m'appelle Hélène, je suis pharmacienne, j'ai vécu 10 ans à Paris où j'ai rencontré mon mari, Benjamin. On a eu un premier enfant, Léon, il y a trois ans. Puis quand, l'an dernier, je suis tombée enceinte de ma fille Georgia, Benjamin a décidé qu'il voulait vivre prêt de la mer et moi j'ai décidé que je voulais vivre prêt de ma mère. Depuis on vit donc au Touquet ! "
"Avant même d'envisager une grossesse, l'allaitement était pour moi une évidence. Un truc non négociable.
Alors quand je suis tombée enceinte de mon fils il y a trois ans j'ai joué les bonnes élèves et je me suis beaucoup renseignée : réunions LLL, groupes Facebook, bouquins, podcasts et compte insta. Et ce qui semblait en ressortir c'est qu'allaiter c'est difficile.
Quand Léon est né, en siège et au troisième percentile (NDLR : Cela signifie alors que 97% des bébés du même âge sont plus lourds que lui), je me suis sentie nulle. Nulle de pas réussir à faire un bon gros bébé comme tout le monde. Alors mon projet il devait réussir :
Je lisais partout que le mieux c'est de se faire accompagner alors j'ai appelé une consultante en lactation.
Lorsque je l'ai rencontré à J-5 mon bébé savait téter et il prenait du poids. Mais moi j'étais vulnérable et terrifiée, la pression mise sur la prise de poids des nouveaux nés m'angoissait. J'avais besoin qu'on me dise que tout allait bien.
Malheureusement pour moi la personne en face de moi n'a pas compris mon besoin. Après m'avoir dressée une liste d'injonctions (pas de poussette, laisser le bébé au sein toute la nuit, tirer mon lait 8 fois par jour) elle m'annonce que mon fils a un frein de langue, qu'il faut urgemment l'opérer et avoir recours à différents professionnels type chiropracteurs pour rééduquer le tout.
Le risque ? Elle m'annonce des conséquences à long terme terrifiantes.
Je suis perdue; mais entourée. Mon mari prend un peu de recul. Mes parents prennent du recul. Des morceaux du discours tiquent dans ma tête et pourtant. Je suis pharmacienne mais 5 jours après avoir accouché je n'ai aucun esprit critique.
Je suis malgré tout effrayée par le discours alarmiste et les conséquences que pourraient avoir ma décision plus tard (trouble de l'oralité? Trouble du langage? Problème de dos ? ).
Mon père est stomatologiste. La chirurgie de tout ce qui se trouve dans la bouche c'est son métier. Il me promet de regarder la bouche de mon fils quand on se verra et il coupera si il estime que c'est nécessaire.
Mais moi ça ne me va pas. La dame a insisté sur l'urgence de la situation. Et dans mon cerveau disparu dans les vapeurs du post-partum je me surprends à penser "mon père il n'y connait rien. Il n'est pas formé aux freins" (encore une fois C'EST SON MÉTIER).
On décide de contacter l'ORL recommandé pour avoir un avis médical sur cette histoire de freins. La réponse me ramène sur terre : on me demande un paiement pour que mon dossier soit examiné. C'est bête comme truc mais c'est à ce moment là que je bloque. Jamais un médecin ne demanderait un paiement pour examiner un dossier. Ce n'est pas une grosse somme mais ça n'a pas de sens. Déontologiquement ça me paraît impossible. Déontologiquement c'est impossible.
Je me rappelle que mon bébé grossit. Que mon allaitement ne présente pas de problème. Je commence à accepter d'écouter mon entourage qui a plus de recul que moi. Je le prend ce recul.
Cette histoire a duré dix jours à tout casser. Mais dans les mois qui ont suivi, je n'ai pas pu m'empêcher de me dire que "si" j'avais pris la mauvaise décision, pouvait-il y avoir des conséquences à long terme sur mon fils?
Entre la première et la deuxième année de mon fils j'ai passé un diplôme universitaire en lactation humaine. Et j'ai enfin réussi à le prendre définitivement, ce recul. En lisant des études, en détricotant les croyances autour de l'allaitement mais aussi en voyant mon fils grandir sans problème."Ecoutez vous, prenez du recul, avec n'importe quel soignant/accompagnant autour de la parentalité"
@elodiefromentphotographie
Et petit happy end : mon fils a trois ans. Il a été allaité 20 mois, il parle bien, ne veut se nourrir que de pâtes et de saucisses mais il mange bien. Mon père a pu regarder ce fameux frein. Il est peut être un peu court mais tant que cela ne pose pas de problème pas de raison d'intervenir. Et si il faut le faire à un moment donné il ne sera jamais trop tard."
Hélène
On profitera de cet article pour partager l'information suivante que nous a transmise Hélène sur La saga des « freins buccaux restrictifs » chez l’enfant allaité. et l'éclairage apporté par le Dr Gisèle Gremmo-Féger.
Depuis une bonne dizaine d’années, on observe une augmentation inquiétante des diagnostics de freins de langue courts ou de freins de lèvre et des demandes d’interventions de sections de ces freins chez les enfants allaités. Cette situation s’est installée après l’introduction du concept de frein de langue postérieur.
Cet article est une mise au point concernant les préoccupations et connaissances actuelles sur le sujet des freins buccaux et de l’allaitement. La compréhension des mécanismes de la succion au sein, de nouvelles données anatomiques et des conférences des consensus apportent un éclairage contribuant à adopter une approche raisonnée de cette problématique.
Il n’y a pas de lien formellement établi entre un score de frein de langue court et des difficultés d’allaitement. Avant de recourir à une frénotomie, il est indispensable de procéder à une évaluation méthodique et rigoureuse du couple mère-enfant et de la conduite pratique de l’allaitement.
Et si vous n'êtes toujours pas convaincue, voici plus d'information suite à ces dérives:
Un appel collectif à la vigilance !
Face à l’accroissement important sur tout le territoire de réseaux proposant, à des tarifs excessifs, de traiter les douleurs mamelonnaires et l’arrêt précoce de l’allaitement par la frénotomie (ou pire de la pratiquer à titre préventif), l’Académie nationale de médecine s’associe à plusieurs sociétés savantes, médicales, chirurgicales, paramédicales, à des collèges professionnels et des associations, pour émettre les plus grandes réserves quant à l’intérêt et l’innocuité de ce geste invasif à risque d’effets secondaires, et formuler les recommandations suivantes5 :
1. En l’absence de difficultés d’allaitement, la présence d’un frein de langue court et/ou épais ne constitue pas en soi une indication de frénotomie, qui est un geste agressif et potentiellement dangereux pour les nouveau-nés ou les nourrissons et ne doit pas alors être pratiqué.
2. En présence de difficultés d’allaitement, quelles qu’elles soient, une démarche diagnostique rigoureuse doit être réalisée par des professionnels de formation universitaire, ou ayant une formation agréée officiellement en allaitement, respectant une médecine basée sur des preuves, prenant en compte l’état général global de l’enfant complétée d’une évaluation rigoureuse anatomique et surtout fonctionnelle de la succion/déglutition de l’enfant. La frénotomie, restant exceptionnelle, devra être décidée en lien avec le médecin traitant ou le pédiatre.
3. Une frénotomie aux ciseaux peut être indiquée après information des parents sur le rapport bénéfice/risque, à condition qu’il existe un frein lingual antérieur court et/ou épais et uniquement après échec des mesures conservatrices non chirurgicales classiquement mises en place. Ce geste est réalisé avec ou sans anesthésie de contact, remise au sein immédiate et prescription d’un antalgique. Après la frénotomie, aucun geste intrabuccal n’est nécessaire dans les jours suivants.
4. Des études méthodologiquement rigoureuses, ciblant les indications, l’efficacité et la tolérance de la frénotomie, sont à mener sans délai.
5. La préparation à l’allaitement et la formation des professionnels doivent être améliorées afin de d’accentuer la prise en charge conservatrice et non chirurgicale en cas de difficultés."
Nous pensons fondamentalement que le partage de nos expériences nous enrichit et nous aide à nous sentir moins seul(e) dans certaines situations, c'est pourquoi nous vous donnons la parole et déposons vos témoignages dans notre journal. "Because Sharing is caring".
C'est pourquoi aujourd'hui on vous propose le témoignage de Julie (alias @mademoiselle_boheme_) qui aborde le deuil de son allaitement.
"Je vais vous faire une confidence, je suis jalouse un peu j’avoue"
Julie 38 ans et maman de 7 enfants est atteinte d'une sclérose en plaques. Le 4 mai, elle subissait une ablation de la poitrine pour des raisons de santé. "Pour moi c’était la fin du monde j’ai dû dire adieu à la plus chose qui me soit jamais arrivée : l’allaitement"
"Le plus dur n’est pas d’avoir perdu ma poitrine le plus dur c’est cette impression folle qu’on nous a volé notre aventure lactée".
Merci à Julie pour son témoignage 🤍
À toutes les mamans qui n'ont pas pu vivre leur aventure lactée comme vous l'auriez souhaité, imaginée, rêvée. Prenez le temps de faire votre deuil, à votre rythme, soyez résiliante, indulgente avec vous-même et votre corps.
Nous pensons fondamentalement que le partage de nos expériences nous enrichit et nous aide à nous sentir moins seul(e) dans certaines situations, c'est pourquoi nous vous donnons la parole et déposons vos témoignages dans notre journal. "Because Sharing is caring".
C'est pourquoi nous vous proposons aujourd'hui le témoignage de @helene.tosco qui nous parle des 2 questions qu'elle a été amenée à se poser:
- Est-ce que l’allaitement est une question de durée ?
- Faut-il remplir des quotas de temps pour dire que nous sommes une mère allaitante ?
"
Quand ma fille Suzon est née, j’ai pu lui offrir une tétée d’accueil qui fut merveilleuse et que je n’oublierai jamais.
Après ça, elle a de moins en moins voulu manger et rechignait à prendre mon sein malgré l’aide systématique que je sollicitais auprès des sages-femmes. J’ai commencé à tirer mon lait pour stimuler ma lactation. Avec les équipes médicales de la maternité, nous avons décidé de lui proposer mon lait dans un biberon mais ce ne fut pas un grand succès non plus. A J+2 jours de mon accouchement, ma fille a commencé les biberons de lait infantile sans grande conviction de sa part mais avec beaucoup d’espoir du mien. A J+8 jours de mon accouchement, elle a cessé de manger. Elle ne voulait ni du sein, ni du biberon et n’avalait plus rien.
Le lendemain, on lui détectait un problème cardiaque qui par ricochet empêchait son estomac de fonctionner. Après cette merveilleuse tétée d’accueil ma fille n’a pas voulu manger car elle ne pouvait pas manger. Suzon est restée plusieurs jours dans le coma et a eu une opération du coeur qui lui a sauvé la vie. Suite à cet épisode, le biberon de lait infantile a été la solution la plus appropriée pour tous les membres de notre famille.
Malgré les yeux au ciel que l’on peut me faire, je reste aujourd’hui persuadée que le nombre ne fait pas la règle et que je suis une mère allaitante grâce à cette unique tétée d’accueil."
Merci à Hélène pour ce témoignage et ce message de conclusion très fort que beaucoup de mamans devraient entendre 🤍
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Témoignage de Pauline, maman co-allaitante ✨
Nous pensons fondamentalement que le partage de nos expériences nous enrichit et nous aide à nous sentir moins seul(e) dans certaines situations, c'est pourquoi nous vous donnons la parole et déposons vos témoignages dans notre journal. "Because Sharing is caring".
"8 mois d'allaitement exclusif : Quand je pense qu'on m'avait dit qu'il était impossible que je puisse allaiter à cause de mes tétons, je ne peux que m'applaudir et remercier cette accompagnatrice à la PMI qui m'a redonnée confiance en moi, sans me faire culpabiliser si je n'y arrivais pas. L'allaitement ce n'est pas une question de société ou de jugements, c'est beaucoup plus personnel. On entend souvent beaucoup de discours très culpabilisants autour de ça dont il faut totalement faire abstraction. L'allaitement c'est entre vous et votre enfant, si vous n'aimez pas ça, si vous ne voulez pas, si vous n'y arrivez pas ou plus: c'est Ok. Lorsque l'on devient parent on prend des décisions pour soi et son enfant pour être le.la meilleur.e pour lui.elle. Pas pour plaire à l'un, ou suivre les fameux conseils culpabilisants de l'autre. On ne s'écoute que soi et plus les autres, même si c'est dur. Vive le lait en poudre, vive l'allaitement et vive toutes les manières de nourrir ses enfants tant que nous le faisons bien, et avec amour."
Merci à @shera pour cette mise au point et ce témoignage 🤍
Nous pensons fondamentalement que le partage de nos expériences nous enrichit et nous aide à nous sentir moins seul(e) dans certaines situations, c'est pourquoi nous vous donnons la parole et déposons vos témoignages dans notre journal. "Because Sharing is caring".
C'est pourquoi nous vous laissons découvrir le témoignage de Juliette (@juliette_jnspc) qui était à deux doigts d'abandonner son allaitement mixte car ce dernier était très laborieux. Aujourd'hui elle est à 7 mois et demi d'allaitement, grâce au soutien de sa consultante en lactation qui l'a aidé à se détendre en lui affirmant que peu importe ses choix, ils seraient les bons. Cela à permis à Juliette de débloquer quelque chose en elle.
" À 1 mois, j'ai pu passer à ce dont je rêvais, à savoir un allaitement exclusif. On a commencé la diversification depuis et si elle dévore ses compotes et purées, mon lait reste son aliment principal.
J'ai réussi mon pari, celui d'allaiter avec un seul sein. Et même si chacun.e nourrit son enfant comme il ou elle le souhaite, c'était important pour moi d'y arriver. J'aime ce lien particulier, ce prolongement de la grossesse, et le côté pratique, économique et écologique".
Les réseaux sociaux ont également pesé dans le quotidien de Juliette lors de sa première grossesse. C'est pourquoi elle rappelle avec bienveillance à toutes les mamans "Instagram n'est pas la réalité, tes choix sont les bons pour toi et ton enfant".
Merci à @juliette_jnspc pour ce témoignage 🤍
Photo : @camilledk.photography / @gangderouquins
Nous pensons fondamentalement que le partage de nos expériences nous enrichit et nous aide à nous sentir moins seul(e) dans certaines situations, c'est pourquoi nous vous donnons la parole et déposons vos témoignages dans notre journal. "Because Sharing is caring".
Témoignage Marine , maman de Marceau (2019 et Léonore (2022) ✨
"Et plus on me demande « Quand est-ce que tu vas arrêter d’allaiter ? » et moins j’ai envie que notre douce (et intense) aventure s’arrête. Ce qui me dérange c’est cette insistance, le fait qu’on essaie de décider à ma place, à la place de Marceau. Bien sûr que cette aventure prendra fin un jour. Je pense même que c’est pour bientôt parce qu’il est vrai que les tétées d’une heure pour l’endormissement le soir, et les multiples réveils nocturnes m’épuisent de plus en plus. Je n’ai pas dormi plus de trois heures d’affilées depuis que mon mini d’amour a débarqué dans notre vie, et mon corps le ressent. Alors oui, comme toute belle chose, cette incroyable 𝒑𝒂𝒓𝒆𝒏𝒕𝒉𝒆̀𝒔𝒆 prendra fin un jour, mais c’est à nous qu’en revient le choix du moment."
Merci à @ma.rine_
Nous pensons fondamentalement que le partage de nos expériences nous enrichit et nous aide à nous sentir moins seul(e) dans certaines situations, c'est pourquoi nous vous donnons la parole et déposons vos témoignages dans notre journal. "Because Sharing is caring".
C'est pourquoi on vous propose aujourd'hui le témoignage de Cécile sur le tire-allaitement.
"On me demande souvent si j'ai allaité et je répond que "Je n'ai pas réussi". Ce à quoi nombreuses des papesses de l'allaitement rencontrées ici m'ont répondue avec bienveillance :
Notre muse du jour est Estelle, maman danseuse de 2 adorables enfants, elle a accepté de se prêter au jeu de nos interviews et nous en sommes très heureuses ! Douce et bienveillante, Estelle nous emmène dans son cocoon et nous raconte comment son collier MintyWendy est devenu un très joli symbole à ses yeux et comment il a aidé son aînée à prendre confiance en elle et à se rapprocher de son petit frère. Elle délivre enfin un très joli message que toutes les mamans devraient entendre.
Nous vous souhaitons bonne lecture et remercions chaleureusement Estelle pour cette interview et Aude, sa soeur photographe pour ces très jolies photos !
Je m’appelle Estelle, j’ai bientôt 34 ans et suis danseuse et maman de deux enfants, Salomé 6 ans, et son petit frère Aliocha qui a 6 mois à peine. On vit tous les 4 à Paris avec Antoine leur papa, dans le 19ème près de la Villette.
Photo : @laurasaullephotographe
Au départ c’était principalement pendant l’allaitement que j’utilisais mon collier.
Autour de ses 3 mois, j’ai senti qu’Aliocha commençait à chercher de ses petites mains à attraper mes vêtements, mes cheveux, alors j’ai commencé à le porter.
Aujourd’hui il est sevré partiellement, j’ai d’ailleurs essayé de garder le collier comme référence pendant le sevrage. Tout ne s’est pas passé comme prévu avec Aliocha, mais je reste persuadée que cela peut aider à la transition. Il est d’ailleurs un objet familier pour lui aujourd’hui que je continu à porter de temps en temps la journée en dehors des moments de repas. C’est justement une période où il adore le porter à sa bouche pour le mâchouiller, ses dents qui se préparent à sortir l’embête beaucoup et le collier le soulage. On utilise aussi quotidiennement les anneaux de dentitions qu’il adore.
C’est naturellement qu’il s’est habitué à saisir le collier pendant la tétée, c’est venu petit à petit. De son autre main, je profitais alors des petites caresses dans le dos. J’ai la sensation que le collier est devenu un objet repère, il l’associe à ce moment du repas et du câlin. Et en dehors de ces moments là il adore l’attraper et jouer avec. Le collier l’amuse autant qu’il peut être rassurant, je m’absente parfois plusieurs jours pour mon travail, je laisse alors le collier aux personnes qui le garde.
Salomé est très coquette, elle aime porter des bijoux et surtout imiter les adultes ! Elle a tout de suite été séduite par le concept du collier duo et le porte donc souvent, notamment dans ses moments de jeu.
Pour elle qui est beaucoup dans des jeux de rôle, c’est plutôt en tant que « petite maman » qu’elle sollicite son frère avec son petit collier. Elle reproduit mes mots et gestes comme si Aliocha était son bébé. Il a d’ailleurs été un objet précieux dans le lien qui s’est construit entre eux. Au départ, Salomé était très intimidé par son frère bébé, c’est à peine si elle osait l’approcher, et elle ne le touchait pas du tout. En passant par le jeu, il a contribué à les rapprocher, à lui faire prendre confiance en son rôle de grande sœur et à trouver petit a petit sa nouvelle place. Il est donc un très joli symbole à mes yeux.
Étant passé par des moments compliqués notamment liés au sevrage, je ne peux qu’inciter les mamans à lâcher prise sur ce qui peut sembler être « la norme » , ne rien faire qu’elles ne ressentent pas profondément, et aller à leur rythme avec leur bébé. Laisser aussi le temps à l’autre (co parent, frère et sœur...) qui est souvent sur un rythme différent du nôtre et a besoin de temps pour créer son lien à lui avec bébé.
Enfin, faire confiance à son bébé +++!
]]>Aujourd'hui nous sommes très heureuses de vous proposer cette toute première interview de papa. Alors un grand merci à Bobby, jeune papa américain d'une petite Louise qui a accepté de nous parler un peu de l'utilisation de nos colliers dans sa nouvelle vie. Préparez vous, Bobby est "straight to the point" dans ses réponses!
Nous sommes Louise, maman et papa.
Je me suis demandé, “mon bébé peut-il s'étouffer avec ça ? J'espère que c'est sans danger et que ce n'est pas plein de produits chimiques."
Et j'ai pu voir que c'était tout bon !
@loukergo
Principalement quand je voyage avec mon bébé. En train, en avion etc.
J'ai oublié d'apporter mon collier dans un avion pour les États-Unis et le voyage était triste!
Principalement quand on voyage mais aussi quand Louise a commencé à faire ses dents.
@loukergo
Nous en avons deux qui sont toujours suspendus dans le salon pour celui ou celle qui en a besoin.
]]>
À la suite d'un petit concours sur notre compte Instagram, nous avons rencontré Mathilde, alias @choukette_babies, une maman de 2 garçons qui après quelques échanges nous à parlé de sa vision de la maternité et de l'allaitement. Touchées par ses mots, nous lui avons proposé de devenir notre muse et de partager avec vous son expérience et ses recommandations quant à l'importance du soutien lorsque l'on fait le choix d'allaiter. Nous la remercions chaleureusement pour nous avoir accordé du temps et vous laissons en sa douce compagnie.
Je m'appelle Mathilde, j'ai 32 ans ("bientôt 40 !" Rajouterait mon mari) et je suis maman de 2 petits garçons Lucas 3ans, et Edouard 5 mois. J'ai un super chéri depuis 5 ans, et même mari maintenant depuis 2 mois. Et enfin, la famille se complète d'un adorable chien Loki, un monstre de 45 kg doux comme un agneau.
Marine, infirmière, et son mari Édouard ont 3 enfants : Jeanne 6,5 ans, Arsène, 4,5 ans et Lison 6 mois. C’est surtout de cette dernière merveille dont Marine est venue nous parler, et de son arrivée sur terre pour le moins étonnante.
J’ai eu deux grossesses plutôt normales, mais je dois avouer que je n’ai pas adoré être enceinte. Accepter son corps qui change n’est pas toujours facile !
J’ai accouché à l’hôpital, là où j'avais également été suivie. Tout s’est très bien passé mais j’ai trouvé, et cela ne regarde que moi bien entendu, l’atmosphère de l'hôpital assez difficile, en ayant le sentiment d’être juste un numéro.
Alors pour ma 3ème grossesse j’ai eu envie d’autre chose... Après avoir lu et entendu beaucoup d’informations sur les accouchements naturels et physiologiques ces dernières années, j’ai pensé que cette approche me correspondrait mieux.
J’avais envie d’aimer cette grossesse, de me sentir bien dans mon corps, dans ma tête, et de vivre quelque chose de moins médicalisé.
J’ai rencontré deux sages-femmes extraordinaires, Anne et Camille, qui proposaient de me suivre dans le cadre d’un accouchement physiologique.
L’idée plus précisément, était d’accoucher en plateau technique : on est suivi par une sage femme pendant toute la grossesse et le jour de l’accouchement, cette dernière accompagne la maman à l’hôpital et l’aide à mettre au monde son bébé, en bénéficiant des infrastructures du lieu. Les médecins et le personnel de l'hôpital n’interviennent qu’en cas de problème.
J’ai eu de longs rendez-vous avec Anne ou Camille, qui se sont rendues très disponibles, répondant à toutes mes questions, mes angoisses...
C’était à chaque fois une vraie bouffée d’oxygène, qui me faisait me sentir tellement mieux que lors de mes précédentes grossesses.
Un accompagnement humain, un peu d’hypnose, de sophrologie...les cours de préparation à la naissance furent un pur moment de bonheur, pour Edouard comme pour moi d’ailleurs. Car il a lui aussi adoré ces moments d’échanges, et s’est senti investi d’un rôle encore plus important que pour les précédentes grossesses.
Quelques semaines avant mon terme, j’ai ressenti le besoin de préciser aux sages-femmes que si par hasard il fallait que j'accouche en urgence à la maison pour une raison ou pour une autre, j’étais préparée. Mon mari nettement moins ! Évidemment que je préférais m’en tenir au scénario initial: réaliser le travail préparatoire à la maison puis partir accoucher avec elles dans la salle nature de l'hôpital...
Mais les événements ne se passent pas toujours comme on le croit...
En effet ! Le 27 mars, nous partons dîner chez des amis, ceux supposés garder Jeanne et Arsène le Jour J. Cela aurait dû nous mettre la puce à l’oreille…!
En chemin, les contractions s’intensifient. Nous commençons à les compter et comprenons que l’heure est venue…
Sans trop de stress (nous sommes habitués aux accouchements longue durée !) nous rentrons à la maison et appelons ma sage femme qui préconise de prendre un bain et de la tenir au courant. Les contractions devenaient régulières et fortes mais en aucun cas je ne les appréhendais, j’étais sereine et les acceptais.
Malgré cela, Edouard préféra appeler Anne, la sage-femme, pour qu’elle vienne nous rejoindre et m’accompagner avec sérénité jusqu’à l’hôpital.
Encore dans mon bain, une rapide auscultation nous apprend que je suis déjà dilatée à 9...Anne nous confirme qu’il est temps de partir à l'hôpital !
Mais change de discours quelques minutes plus tard lorsque je tente de sortir de la baignoire et qu’elle constate que je ne peux même plus tenir debout, le travail à commencé.
Branle bas de combat ! Le bébé arrive ! À peine Edouard revient d'être allé chercher des serviettes que l’on voit apparaître la tête alors que je suis toujours dans la salle de bain.
Trois poussées plus tard, Anne lui propose de l’aider à recueillir Lison. Elle est là, merveilleuse, et je pars m’installer avec elle dans la chambre d’amis, le cordon ombilical encore relié histoire de prolonger cet incroyable moment...
Nous étions sur un nuage, heureux et fiers de la manière dont tout cela s’était déroulé.
S’est ensuite posée la question du départ à l'hôpital, vivement recommandé par les sages-femmes. Et je fus moi-même rassurée d’y rester quelques jours avec Lison.
Nous avons eu besoin Edouard et moi, de revenir sur ce moment que nous avions vécu différemment. Il avait beau me voir sereine, et avoir aussi confiance en moi qu’en notre sage-femme, l’appréhension a parfois pris le dessus. Il a d’ailleurs eu besoin d’écrire son propre récit, de raconter la manière dont lui avait vécu cette soirée.
Personnellement, j’ai réussi à entrer dans une connexion telle avec mon corps, que je ne ressentais presque plus la douleur et avait réussi à atteindre un état de plénitude.
Tout ce que Anne et Camille m’avaient enseigné sur la physiologie de l’accouchement, les différentes phases par lesquelles j’allais passer, m’ont permis de vivre l’accouchement dont je rêvais secrètement.
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Raphaëlle et son conjoint Nicolas sont originaires de Toulouse et vivent à Madrid avec Arthur, leur fils de 2 ans. Le 6 mai dernier, un deuxième petit garçon, Charles, est venu rejoindre leur jolie famille.
Mais ce bébé s’est révélé être encore plus extra-ordinaire que ce à quoi ils s'attendaient… Au lendemain de sa naissance, les médecins confirmaient leurs doutes et posaient le diagnostic de la trisomie 21. Après un ascenseur émotionnel et une grande confusion de sentiments, ils ont choisi et accueilli ce merveilleux bébé tel qu’il est, à bras grands ouverts.
Ils s'apprêtent à rentrer vivre à Toulouse à la fin de l’été afin d'être auprès de leur famille et de leurs amis.
Deux de mes amies les plus chères ont eu la bonne idée, plutôt que de participer à la liste de naissance, de m’offrir un collier d’allaitement MintyWendy. J’avais déjà entendu parler de ce concept de bijoux. Mais je n’ai pas tout de suite compris car à priori, elles savaient que je n’avais pas prévu d’allaiter mon futur bébé.
Puis elles m’ont expliquée sa fonction de collier de dentition et de portage, et en l'occurrence, j’adore porter ! J’ai beaucoup porté Arthur et je m'apprêtais à recommencer pour le suivant, j’ai donc adoré l’idée. J’ai commencé à le porter tous les jours à partir de 7-8 mois environ, en prévision du Jour J, et me suis tout de suite sentie féminine, apprêtée...
Je savais que j’allais beaucoup utiliser le porte bébé et mon t-shirt de portage. Et j’appréciais l’idée qu’il puisse jouer avec sans que cela soit dangereux pour lui, de pouvoir le laisser faire sans crainte.
Ce qui est incroyable c’est que je ne me vois pas arrêter de les porter (car oui j’en ai acheté d’autres depuis !), même lorsqu’il sera plus grand, car je les trouve magnifiques. Honnêtement, je les porte surtout pour moi ! Et c’est d’ailleurs je crois, ce à quoi mes amies ont pensé en me l’offrant : trouver un cadeau 2 en 1, qui me ferait plaisir à moi tout en étant utile à mon bébé.
Ce collier m’avait été offert pour le bébé que j’attendais. Mais le jour de la naissance, ce n’est pas vraiment celui que j’imaginais que l’on m’a posé dans les bras... J’ai eu comme l’impression que ce collier ne lui était pas destiné. J’ai eu besoin de l’enlever, et de prendre le temps d’accepter…
Nous avons d’abord eu une réaction de rejet pour finalement l’aimer à ne plus en douter.
Nous avons rencontré très rapidement une psychologue et une assistante sociale car nous ne nous sentions pas de le ramener à la maison. Ces deux femmes ont été incroyables, elles n’ont porté aucun jugement et nous ont recommandé des personnes avec qui discuter, une association formidable, mais aussi le service d’adoption auprès de qui nous avons entamé une procédure…
Et puis brusquement, nous avons changé d’avis, nous avons ouvert les yeux ! Une semaine après la naissance de Charles, j’ai remis mon collier MintyWendy à mon cou, comme ça, de manière inconsciente, sans savoir que nous allions décider de le garder près de nous, pour toujours. Et c’est ce jour-là que je l’ai accepté, tout entier.
Nous étions dans la voiture et j’ai eu une vision de Nicolas et moi, entourés de 3 enfants dont Arthur, et Charles, telle une évidence. Il avait pris la même décision de son côté...Nous avons arrêté la voiture, beaucoup pleuré et fait demi-tour pour aller déchirer les papiers administratifs de démarche d'adoption.
Je crois que cela nous a beaucoup aidé, dans le chemin de l’acceptation, d’avoir eu le choix. Même si aujourd’hui je ne comprends pas comment j’ai pu douter de mon amour pour lui.
Cela s’est passé lorsque nous étions à l'hôpital, le jour où nous sommes sortis des soins intensifs et passés en chambre. J’étais en train de le porter dans mon t-shirt de portage et il a saisi mon collier. J’étais tellement émue, j’ai pensé aux deux amies qui me l'avaient offert, à son histoire, et à la symbolique que ce bijou allait encore plus avoir après cela.
Les bébés trisomiques sont parfois hypotoniques, ils font moins de gestes ou les font plus délicatement. Depuis qu’il est né, Charles bouge bien les jambes, la tête etc...On ne se voile pas la face, nous savons que son développement sera plus lent. Mais ce moment a été une petite victoire pour nous. D’ailleurs, les parents d’enfants extra-ordinaires avec qui je discute me confirment tous que la moindre petite victoire est merveilleuse. C’est à chaque fois une grande fierté pour nous.
Je passe mon temps à le toucher, il me sert un peu d'anti-stress, mais en plus joli! C’est surtout le rose et blanc que je porte régulièrement qui a tout changé, le Palm Sunrise. C’est difficile de l’expliquer mais j’ai l’impression qu’il est “magique” et j'espère que Charles y trouvera autant de réconfort, que moi j’en trouve en le regardant.
J’aime tellement ces colliers que j’ai acheté le Terracotta pour un mariage auquel nous allons en septembre!
On pense souvent que cela n’arrive qu’aux autres, mais j’ai découvert sur les réseaux sociaux une merveilleuse communauté qui m’aide beaucoup dans le processus d’acceptation du handicap. Ils sont très soudés et je ne me suis jamais sentie aussi écoutée, comprise et entourée. Nous aimerions d’ailleurs beaucoup rencontrer des familles extra-ordinaires comme nous en revenant à Toulouse.
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Notre muse du jour, est Marine, maman de 2 fillettes et de son blog Petit Champignon de Paris dans lequel elle nous partage ses coups de coeurs déco, sa vie de maman, ses lectures et des conseils pour les kids ! Présente également sur Instagram sous @Pititchampignon, son compte vous fait voir la vie en rose ! Dans cet interview Marine, nous parle de son expérience avec nos colliers, plus particulièrement lors du portage avec Jude et termine cet échange par un conseil que toutes les mamans devraient entendre !
Nous vous laissons en sa douce compagnie... bonne lecture!
Photo : Elsa Lebaratoux
Notre muse du jour est Anaïs, directrice de crèche et maman de 3 enfants qui nous a fait l'honneur, lors de notre dernier shooting, d'être notre égérie au côté d'Eva, sa petite dernière. Un moment de partage hors du temps, dans une bulle de douceur et de bienveillance autour d'une maman et de son bébé, que Candice notre photographe a su immortaliser avec authenticité.
J’ai rencontré mon mari qui est sapeur pompier de Paris en 2012, notre première merveille est arrivée le 1er juillet 2014, suivi de notre fils chéri le 23 juillet 2016, nous nous sommes dit « oui » en juin 2018 et enfin notre dernière petite belette est arrivée le 17 décembre 2020.
Nous respirons le bonheur et profitons de chaque instants avec nos enfants.
Photographe : Candice Henin
Photographe : Candice Henin
Camille, jeune maman de 3 petits chats, est notre Muse du jour. Connue sur Instagram sous le nom de @jaleemom, cette blogueuse et photographe nous emmène au coeur de son petit cocon familial avec des photos pleine de douceur et d'amour. Accro "des jolies choses", elle nous partage dans un univers poétique et harmonieux, ses trouvailles . Aujourd'hui elle a accepté de nous partager un peu de son quotidien et nous parle de l'utilisation de nos colliers d'allaitement et de nos anneaux de dentition. Nous vous laissons en sa compagnie et la remercions chaleureusement pour son partage et ses mots encourageants pour toutes les mamans.
Étant une grande fan du joli, cet anneau était fait pour moi, pouvoir allier le beau tout en étant le mieux pour mon bébé. Cet anneau a une très bonne prise en main pour le bébé et il est canon faut l’avouer !
Aujourd'hui c'est notre Muse Ombeline Brun, qui a accepté de répondre à nos questions et de partager avec nous un petit bout de sa vie de maman. Son compte Instagram lumineux et doux, parsemer entre les photos de ses 3 enfants de ses jolies créations poétiques pour petits et grands, est un petit nid douillet dans lequel on aimerait bien se réfugier. Nous la remercions chaleureusement pour son partage et sur son retour concernant l'utilisation de notre collier quant à ses jumeaux.
Nous vous laissons en sa douce compagnie et vous souhaitons bonne lecture,
Nous sommes 5, un papa Rodolphe, une maman Ombeline (moi) une petite fille rigolote de 4 ans nommée Blanche et deux petits garçons tout aussi drôle de 15 mois bientôt 16, Laël et Mayeul. Nous vivons dans une vieille grange en pierre que nous rénovons depuis plusieurs années à la lisière d’une foret. Nous avons traversé une période très dure, à l’arrivée des garçons dans nos vies, avec la découverte de la cardiopathie congénitale lourde d’un de nos petits garçons. Depuis nous vivons encore plus au rythme et à l’écoute de nos enfants, et nous profitons de chaque instant avec eux, car ces événements nous en ont montré toute la valeur.
Je dois avouer que non, je ne connaissais pas et pourtant j’en avais un à la maison... mais je ne savais pas toute son utilité. Et oui ça m’aurait aidé grandement car Blanche a été allaitée 30 mois tout pile, et je me souviens qu’elle adorait me pincer et me griffer pendant les tétés et qu'à plusieurs reprises elle m’avait blessée.
Pour Mayeul c’est l’allaitement, pour Laël le portage...
Laël a eu un début de vie très compliqué et est resté alité presque 6 mois, du coup il a connu le collier plus tard que son frère Mayeul, mais il a vite compris que c’était super de mâchouiller les perles et il y passe de grand moment tout comme Mayeul qui lui l’avait adopté beaucoup plutôt vers 3/4 mois. Il fait parti, et de loin, des must have pour soulager leurs gencives quand les petites dents pointent le bout du nez ! Je le suspendais comme hochet à leur portique, pour qu’ils l’attrapent facilement. C’était, de mémoire, une de leur première motivation à tendre les bras pour attraper !
Oui Blanche est devenue la grande sœur de ces deux frères, et c’est pas rien deux frères... mais je crois que ce rôle était fait pour elle. J’avais beaucoup d’appréhension et puis au final elle est très à l’aise, très maternante avec eux... elle les aime si fort c’est beau à voir au quotidien.
D'abord mannequin, puis animatrice radio et TV, désormais co-fondatrice et community manager pour la marque e-setera, Sophie Rodriguez est une maman entrepreneur qui à vécu plusieurs vies en une ! Aujourd'hui elle nous fait l'honneur de rejoindre nos MintyWendy Muses en répondant à nos questions quant à l'utilisation de nos bijoux MintyWendy et nous partage un petit bout de sa vie de maman de 3 enfants. On vous laisse en sa douce compagnie.
Je suis Sophie, 37 ans, Maman entrepreneur. J’ai la chance d’avoir 3 enfants: Alia qui aura bientôt 10 ans, Zayon qui a 5 ans, et Kally la petite dernière, qui aura 2mois dans 5 jours.
Côté « parcours » j’ai été mannequin pendant 17ans, puis j’ai décidé d’arrêter pour me consacrer à ma fille lorsqu’elle est née, mon mari étant une semaine sur deux en déplacement pour son travail (basketteur pro) je ne me voyais plus partir en déplacement aussi alors qu’on avait un enfant. J’ai ensuite été chroniqueuse TV, animatrice Radio, puis j’ai lancé ma marque e-setera.
Je suis donc bien occupée entre la marque et les enfants mais j’adore ça!
Alia est une grande soeur incroyable, elle est très « maternelle » avec son frère et sa soeur, c’est une petite fille mature, extravertie, qui s’intéresse à tout mais avec un penchant pour tout ce qui est artistique.
Zayon est un petit garçon très doux, il m’a surpris avec l’arrivée de sa petite soeur, il est très prévenant pour son âge et adore câliner Kally. Il travaille aussi très bien à l’école et adore le sport et rigoler!
Et enfin Kally, mon bébé « zen », souriante au possible, très éveillée, et en connection totale avec son frère et sa soeur. c’est déjà une vraie pipelette!
Mon mari, c’est Johan, un grand gaillard de 2m, impressionnant mais un cœur tendre, un papa extraordinaire qui participe à tout!
Je vais être très sincère, je ne connaissais pas du tout, je suis tombée dessus par hasard: je ne suis pas beaucoup d’influenceuses, mais il y en a une que j’adore parce que je la trouve authentique, vraie, et drôle, c’est Lucie @babyatoutprix, et c’est comme ça que j’ai découvert vos bijoux, alors que j’étais enceinte.
Je l’ai d’abord tout de suite mis dans ma liste de naissance, mais peu de temps avant la naissance voyant que je ne l’avais toujours pas, et trop curieuse pour attendre je l’ai commandé.
Je ne dirai pas que j’étais sceptique car je me rappelais bien les gestes « grasping réflexes » de mes deux aînés, mais j’avais du mal à imaginer que le bébé l’attrape naturellement… Et je me suis dit que de toutes façons vos bijoux sont très beaux donc que ce ne serait pas perdu si ça ne marchait pas.
Non justement je ne connaissais pas les bijoux d’allaitement pour les deux premiers, et maintenant que j’ai essayé, je suis convaincue, ça m’aurait bien aidé à l’époque! car les deux, (Alia plutôt griffure, Zayon lui c’était tirer les cheveux) avaient cet instinct d’attraper, de tirer ...
Complètement! Je ne m’en passe plus! Je trouve déjà que ça apaise Kally donc c’est bénéfique pour elle, ce qui est ma priorité, mais en plus, elle ne me griffe plus et je ne suis plus obligée d’attacher mes cheveux.
Je tiens aussi à dire que j’ai vraiment été étonnée car à peine le collier porté, elle a eu le réflexe de l’attraper, et une fois en portage, je me suis aperçue qu’elle le mordillait, comme d’instinct, alors qu’elle n’avait qu’un mois et pas de dents!!
Ecoutez-vous, écoutez vos enfants, armez-vous de patience parfois, mais avec tant d’amour et de joie partagé, vous y arriverez et grandirez à leurs côtés.
]]>Notre Muse du jour est Camille, le cheffe du Gang de Rouqins, l'irrévérencieuse, la combattante, parfois embêtée par de sarcastiques pensées intérieures, souvent éprise d'une euphorie palpable, elle vous emmène avec ses mots dans son intérieur en constant mouvement. C'est aussi une vraie passionnée par son boulot de social media & influence manager chez Petit Bateau. MintyWendy Mama depuis le début, elle nous partage son expérience qu'elle termine par un conseil que l'on doit toutes entendre.
Nous la remercions très chaleureusement et nous vous laissons en sa compagnie,
Avec plaisir ! Ma famille se compose de Johann, mon amoureux et papa de Côme, ainsi que de Cody et Sloane (que Côme appelle « moumoune », comme nous, depuis toujours.
J’ai remarqué que Côme était plus sensible au collier lors de nos moments d’allaitement, où il aimait balader ses petits doigts sur les boules qui composaient les colliers
Mes colliers m’ont permis de répondre à 2 objectifs : twister mes tenues avec originalité tout en divertissant Côme car oui, je voyais bien que depuis tout petit il est était intrigué par ce qui se trouvait autour de mon cou. Je ne me souviens plus de l’âge exact auquel Côme a vraiment « interagir » avec le collier (en le touchant ou le suçotant).
Top 3 : les colliers d’allaitement MintyWendy, les vêtements Tajinebanane, les bouts de sein et le coussin d’allaitement :)
Votre corps a donné la vie, ne le jugez pas trop vite ni trop fermement. Vous êtes merveilleuse !
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Notre Muse du jour est Marie Perrière est une ancienne du fameux magazine MilK et actuellement en charge de la communication de jolies marques françaises. MintyWendy Mama depuis l'arrivée de son fils Tristan, elle avait découvert nos bijoux dans le cadre de son travail avant même sa maternité mais elle n'en comprenait pas complètement le sens avant de comprendre leur efficacité en direct.
Aujourd'hui, Marie a accepté de partager avec nous un petit bout de sa vie qui a fondamentalement été révolutionnée par l'arrivée de son fils et nous la remercions très chaleureusement. Nous vous laissons donc en sa compagnie,
Bonjour ! Je m’appelle Marie, j’ai 34 ans et je suis la maman heureuse (et fatiguée ;) de Tristan, alias Ze Pitchoun, 20 mois ! La maternité a fondamentalement révolutionné ma vie parce que la naissance de notre fils a accéléré notre envie timide de quitter Paris. Le rêve est devenu un projet et, avec son papa, nous avons tous les deux quitté nos CDI pour nous installer dans le Sud de la France, à Nice. Donc non seulement, nous avons sauté à pieds joints dans la parentalité mais nous en avons profité pour changer de job et de ville. Pour le coup, le mot « révolution » est assez approprié !
Avant de m’installer à Nice et de monter mon entreprise, je travaillais à Paris, chez MilK Magazine. J’étais donc à l’affut de toutes les nouveautés dans le monde de l’enfant, rien ne m’échappait ! Cela dit, la première fois que j’ai entendu parler de MintyWendy, je n’étais pas encore maman. Et cela change tout ! Avant d’avoir un bébé, on ne se rend absolument pas compte de l’utilité de ces bijoux. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’ils ont été imaginé et conçu par une maman… En devenant mère à mon tour, j’ai choisi d’allaiter. Et c’est ma propre maman qui m’a offert mon premier collier MintyWendy. Tristan avait à peine quelques mois et il a tout de suite adhéré et adoré. Il passait son temps à bigler sur les boules de couleurs et à les tripoter. Je peux vous dire qu’au-delà de l’allaitement, le collier nous a sauvé plusieurs repas au restaurant et trajet en voiture.
Les 6 premiers mois, j’ai utilisé le collier pour l’allaitement, le portage, la dentition, les trajets en voiture, les repas au restaurant, la salle d’attente du médecin, le supermarché. C’était un vrai gri-gri que Tristan adorait retrouver et qui était ultra- facile à transporter.
Aujourd’hui, à bientôt deux ans, Tristan a trouvé une nouvelle passion : essayer de l’ouvrir et le fermer seul. On ne s’en est donc pas lassé… De mon côté, je le porte plus volontiers l’été, sur un tee-shirt blanc.
Oui ! J’en ai acheté deux, pour offrir à des amies qui était devenue jeunes mamans à leur tour. Je trouve que c’est une chouette idée de cadeau de naissance. C’est joli, utile et ça fait autant plaisir à la maman… qu’au bébé.
Photos BertillePics
]]>Aujourd'hui c'est notre Muse Manuela Franjou que nous vous présentons. Photographe, maman de 4 enfants, vous la connaissez peut-être sous son compte Instagam (@mesenfantssauvages) qui est une ode à la liberté et une déclaration d'amour à ses enfants. Chacune de ses photos est comme une peinture de la Renaissance, pleine d'intensité et de profondeur. Dans cet échange, Manuela nous parle de ce qu'elle aimerait transmettre à ses enfants et du rapport qu'entretien son petit dernier avec le collier MintyWendy.
Nous la remercions pour ce témoignage et nous vous laissons en sa compagnie,
Photo : mesenfantssauvages
Nous sommes une famille de 6, deux parents 4 enfants, de 14, 10, 5 et 1 an. Nous vivons en pleine nature et ce que nous aimons le plus au monde, c'est d’être ensemble, que se soit à la mer, en randonnée, ou quelconques activités… Xavi travaille autour de la musique et moi je suis photographe, de formation architecte d‘intérieur. Nos enfants sont très curieux et aiment faire tout ce qui se présente à eux. Ils sont passionnés et sont avides d’apprendre.
Photo : mesenfantssauvages
Cette phrase peut définir mes ressentis et sur laquelle je retourne souvent:
« Rien de ce que tu peux devenir ne me décevra; je n’ai pas d’idée préconçue sur ce que j’aimerais que tu sois ou que tu fasses. Je n’ai nul désir de prédire qui tu seras; je désire seulement te découvrir. Tu ne peux pas me décevoir » Mary Haskell
Je suis là pour les accompagner, ils savent qu’ils sont capables d’arriver à ce qu’ils veulent mais que l’important est qu’ils soient heureux, peu importe ce qu’ils feront plus tard tant qu'ils sont bien dans leur peau. C’est tout ce que j’espère pour eux.
Photo : mesenfantssauvages
Oui, il l’aime beaucoup, il joue avec depuis que je le porte. Je ne le quitte quasiment pas. Portage ou allaitement, il joue, le touche avec ses petits doigts. On peut le voir sur les photos!
Photo : mesenfantssauvages
Non, il ne réagit pas de la même façon, il s’en sert quand il tete donc c’est sur moi qu’il l’utilise le plus. Et c’est avec maman qu’il ressent ce besoin et avec qui il se tranquillise, s’endort. Je pense que je vais essayer avec mon mari !
Photo : mesenfantssauvages
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Notre Muse du jour est la douce Lyly, maman d'une jolie fratrie de trois enfants et Muse de MintyWendy depuis quelques années. Si vous ne la connaissez pas encore, allez suivre son compte qui est lumineux et harmonieux. Ses photos son délicates et pleines de douceur. Dans cet interview, Lyly nous parle de son expérience avec son collier MintyWendy qu'elle utilise principalement lors de l'allaitement et du portage de Ellie, sa petite dernière. Elle nous raconte également la rencontre et la réaction instinctive de sa fille avec ce nouveau bijou baby-friendly.
Nous la remercions pour toutes ces jolies confidences et nous vous laissons en sa compagnie,
Photo : Lylyetlouis
Nous sommes une famille de 5 : Étienne, le super papa qui travaille pour que je puisse rester à la maison et être au plus près de nos trois enfants : Louis, 4 ans et demi, l'ultra-sociable (voire un peu trop); Lucas, bientôt 2 ans et demi, le timide-rigolo et Ellie, la petite dernière qui a 6 mois et qui a un caractère déjà bien trempé!
Non, je n'avais jamais testé et finalement, je me dis que cela aurait vraiment été utile ! Je pense que c'est même un must lorsque l'on pratique le portage et que l'on allaite.
Oui cela m'arrive mais surtout à l'extérieur pour éviter qu'elle tire sur mes vêtements par exemple (et ainsi éviter l'accident du déshabillage en public). À la maison, elle est plutôt team "tétée calme" + une main sur le garde-manger pour s'amuser avec le flux, haha !
Photo : Lylyetlouis
En toute honnêteté, oui !
Photo : Lylyetlouis
Merci à Lyly et à Ellie
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Notre Muse du jour est la douce Lucie Chauville, l'égérie de notre dernier shooting réalisé pour célébrer les 5 ans de notre marque en y mettant en avant nos intemporels où la maternité se mêle à dame nature. Une immense capeline (surement la plus grande du monde), une cascade, de la poésie et de la douceur, c'est ce qu'il nous a fallu pour faire de ce shooting une ode à la femme mère, sous l’œil expert de notre photographe Bertille Pics. Dans cet échange que nous vous partageons aujourd'hui, Lucie nous parle de sa vie de maman, de ses rêves et de son expérience avec notre collier d'allaitement. Elle nous explique comment ce dernier est venu se glisser dans leur bulle.
Nous la remercions très chaleureusement et nous vous laissons en sa compagnie,
Photo : Bertille Pics
Nous nous sommes rencontrés il y a presque 10 ans, au travail. De notre union est née deux petits gars de 7 ans d'écart pile poil: Leo le 17 février 2013 et Antoine en 2020. Il y a 1 an nous avons tout quitté : région, boulot, maison, pour tout reconstruire en achetant une ferme dans le Var.
Amoureux de choses simples et étant (un tout petit peu) utopistes, nous espérons créer un univers solidaire, de partage, et de rencontre à travers notre association représentée par une micro ferme pédagogique avec un versant potager en permaculture. Nous aimerions travailler avec les collectivités, les familles mais aussi avec le secteur social. Étant éducatrice spécialisée dans la protection de l’enfance il m'est très chère de poursuive ma vocation au sein de cette nouvelle aventure. Nous aimerions donc collaborer avec des IME, ITEP, FE, MECS, CHRS.
Je reste persuadée que c'est avec l’attitude que l'on a envers les gens qu'on les accompagne et qu'on les fait évoluer vers un mieux-être.
Photo : Bertille Pics
J'ai connu le collier d'allaitement grâce à une amie. En me voyant allaiter, elle m'a parlée du produit. Antoine étant un bon glouton, occuper ses mains durant l'allaitement aurait pu apaiser mon cou et mon visage de ses petites mains et surtout de ses petits ongles.
Après quelques recherches sur le net, me voici face au collier d'allaitement, de portage et de dentition MintyWendy. Je tombe sous le charme : qualité du produit (ce qui m'est important) design, model et hop, après quelques likes, et échanges me voici l'heureuse propriétaire d'un collier.
L’utilisation ? Automatique, Antoine est ravi, il le découvre, l’observe, joue avec et l’adopte. Le toucher est très agréable pour bébé mais aussi pour maman. Il fait partie de notre quotidien tout simplement.
Quand on m'a proposée la séance avec Bertille, je ne me suis pas vraiment posé de questions, ça n'a pas été compliqué à reproduire, puisque déjà habitué en temps normal.
Depuis le shooting, le collier a toujours le même effet, et son utilisation a également évoluée puisque les dents sont arrivées. C'est là que le collier de dentition a pris tout son sens. Mon cou et mon visage en sont toujours aussi ravis.
Ce bijou, est à mon sens, un objet à mettre dans sa liste de naissance pour toutes futures mères allaitantes ou non. J'aime le porter avec mes différentes tenues c'est pourquoi j'ai plusieurs modèles.
Quant à Antoine, il ne s'en lasse pas, bien au contraire. À son contact il se focalise dessus.
Photo : Bertille Pics
Antoine est un grand curieux, parfois il se laisse distraire durant une tétée, je me suis rendu compte, qu’au contact du collier cela l’apaisait et le centrait.
Photo : Bertille Pics
Encore merci Lucie & Antoine
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Je suis Jeanine, uruguayo-australo-allemande devenue parisienne et maman de Juliette, 7 ans, Oscar, 4 ans et Rose 16 mois ♡
Pouvoir bouger / voyager est probablement l'une de choses les plus importantes pour moi, cela me procure énormément de bonheur et participe véritablement à mon bien-être et à mon équilibre. Lorsque je suis tombée enceinte de Juliette, nous nous sommes promis mon mari et moi que le fait d'avoir un bébé ne nous empêcherait jamais de voyager, et c'est cet état d'esprit qui nous a toujours guidé. Nous avons commencé tôt les voyages, d'abord en France, puis à l'étranger.
Ma famille est à l'autre bout du monde, les long-courriers n'ont donc pas de secret pour moi :) Je ne pense pas qu'il faille se préparer différemment, en revanche cela prend plus de temps de préparer les affaires car il en faut une plus grande quantité ! Marie de My Travel Dreams donne plein de tips et astuces sur son site pour préparer les vacances avec enfants.
Pour les indispensables, cela dépend beaucoup de l'âge des enfants. Pour mes enfants bébés en terme d'accessoires ça a été une tétine, un lange Comète Paris, une écharpe Studio Roméo et un collier MintyWendy. Pour les plus grands quelques activités type autocollants, livres et plus récemment des boîtes à histoires.
Mon conseil - lâcher prise autant que possible afin de passer un voyage paisible. Nous avons toujours fonctionné avec une routine à la maison, et bien qu'un peu décalée, également en vacances. En revanche, pour les voyages et surtout les long-courriers où l'on est dans un avion pendant 24h et que arrivés à destination il y a 10h de décalage horaire, cela ne sert à rien d'essayer de faire les choses comme à la maison, mis à part se mettre la pression !
Cela ne veut pas dire tout abandonner, mais plutôt accepter d'être souple. Si les grands regardent plus de télé que d'habitude, ce n'est pas grave. Si bébé dort dans vos bras et non dans le petit berceau de l'avion, ce n'est pas grave. Ils comprennent très bien que c'est exceptionnel et en plus ils vont associer voyage avec fun !
Peut-être qu'il y aura un temps d'adaptation en arrivant et donc quelques jours un peu difficiles, mais si vous partez avec cette éventualité en tête cela est plus facile à accepter. Evidemment une fois sur place il faut trouver le bon équilibre entre liberté et routine, mais tout finit toujours par rentrer dans l'ordre car les enfants sont adaptables !
Mélissa est la maman Baroudeuse qui va vous emmené dans sa vision simple et aventureuse du voyage. Pendant que nous étions confinés à nous demander quoi faire de nos rouleaux de papiers toilettes décorés qui envahissaient la maison, elle était dans une van à découvrir le Maroc avec Little Baby Blue, âgé de quelques mois. Je vous laisse donc découvrir Mélissa, la Surf_Mamma de Biarritz et ses conseils pour voyager avec son bébé!
N'hésitez pas à aller lire aussi les interview de Cécile, de Amandine, d'Astrid et de Jessica!
Je suis Melissa, 26 ans, free-lance (un peu d’admin, un peu de marketing et depuis peu j’ai lancé mon blog qui retrace mes aventures de maman complètement gaga de baby Blue (10 mois), belle-maman de Lise (6 ans et demi) et pacsée à mon chéri : Sidou. Nous vivons à Biarritz, ce qui tombe bien car nous sommes complètement addicts à une vie en bord de mer.
J’ai toujours été intimement persuadée que le voyage était l’école de la vie. Contrairement à certaines personnes je savais que mes voyages n’allaient pas devenir plus compliqués avec un enfant mais qu’au contraire cela ajouterait de la profondeur aux souvenirs et aux relations humaines à l’autre bout du monde.
Avec Blue, nous sommes partis quelques jours avant ses cinq mois. Nous avions acheté un van (que nous avons baptisé « Billy ») et avons pris la route direction le Maroc où nous devions passer deux mois. Finalement on y est resté deux mois de plus avec le confinement. Mais c’était une expérience formidable, quand nous sommes rentrés on a réalisé que Blue avait passé la moitié de sa vie au Maroc, ce qui l’a éveillée, ouverte au Monde. Aujourd’hui c’est une petite fille curieuse, pétillante, pleine de vie, solaire. Nous referions tout dans les moindre détails si c’était à refaire. A ce jour nous pensons à notre prochain voyage quand le monde s’ouvrira de nouveau à nous...
Nous n’avons pas fait de vols long-courriers avec Blue, pas de vols tout court d’ailleurs. Mais nous avons roulé, beaucoup. Nous avons passé à plusieurs reprises des journées entières sur la route. En moyenne 8h, 10h, et le plus long 18h. Nous nous arrêtions juste pour l’essence et nous dégourdir les jambes. Ça n’a pas toujours été facile car Blue a fait ses dents pendant une partie du voyage. Ce qui nous a beaucoup aidé ? La banquette arrière sur laquelle on pouvait s’allonger toutes les deux pendant les grandes distances : tétées à volonté et siestes pour maman et bébé.
Sinon on a fait une traversée de 72h en ferry également... qui s’est très bien passé : entre les balades sur le pont et les siestes dans la chambre.
Après avoir traversé ces moments je me sens plus que prête pour un vol long courrier avec Blue. Le fait de savoir que je peux la prendre sur moi et le fait pour elle de savoir qu’elle peut téter quand elle le souhaite rendrait ça plutôt confortable. Après ce sont des hypothèses mais j’ai hâte de tester ça. Et la prochaine envie de voyage... retourner au Costa Rica !
La tétée !!! Mon indispensable! Ça a été d’une simplicité au cours de nos quatre mois de voyage (enfin deux mois de voyage et deux mois de confinement. Et sinon le porte bébé Studio Romeo ou le sweat de portage Mama Hangs pour des balades en ville et en nature en toute simplicité. Blue a adoré les bijoux MintyWendy et s’est donnée à cœur joie avec le bracelet d’eau qu’elle n’a pas lâché durant le séjour.
Quelques autres incontournables pour moi... toujours avoir suffisamment de change : je prenais toujours 5 couches d’avance avec moi, parce qu’on n’est jamais à l’abris. Un lange et deux bodies de rechange. Et pour le soleil ou les coups de froid : un bob, un bonnet, un lange XXL, une petite couverture et une paire de chaussettes.
Mais mon conseil numéro un : ayez confiance en vous, foncez et profitez ! La vie est courte, on ne sait pas de quoi demain est fait (surtout avec la situation actuelle), le monde est si grand, il y a tant de choses à explorer. Et même si on nous bassine parfois de choses telles que ça ne sert à rien de voyager avec bébé parce qu’il s’en souviendra pas ou c’est trop compliqué avec un bébé... sachez que son inconscient s’en souviendra et que l’éveil d’un petit être après un voyage est incroyable !
Dans les indispensables en vrac :
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Je suis Amandine, femme de M. et maman de H, 6 ans, un petit garçons hyper sensible et tellement smart, O, une petite princesse diabolique mais très drôle de 4 ans et G, notre petit gigot d’amour si mignon et easy qui a 11 mois maintenant.
Pour H j’ai découvert la maternité et j’avoue qu’au début je n’osais même pas le sortir de chez moi, donc les voyages pas trop! Il a pris son premier avion à 6 mois pour aller à Marrakech, et ensuite il a enchaîné à 9 mois avec le Mexique pour voir ma sœur qui vit la bas. J’ai pris l’avion seule avec lui à l’aller et au retour et il a été tellement cool que ça m’a lancée et depuis on n’arrête plus, avec un, deux, puis 3 enfants!
Oui on a fait le Mexique avec H seul puis H et O, L’île Maurice et bientôt les Seychelles!
Honnêtement à part prendre plus de bouffe et une tenue de rechange en plus cela ne change pas grand chose. Je trouve cela même parfois plus simple. Quand on passe autant de temps dans un avion, on s’installe comme à la maison et le temps est comme suspendu, chacun vit sa petite vie, je sais qu’ils finiront par tomber de fatigue alors j’attends juste le moment où ça arrive pour vite me coucher aussi!
Récemment j’ai découvert les valisettes d’activités mummytamtam qui sont remplies de surprises géniales pour occuper les enfants. Sinon, beaucoup de réserve de bouffe et je les laisse mettre leurs jouets préférés dans leur sac à dos pour être sûr qu’ils ne soient pas déçus. Un petit collier à mâchouiller MintyWendy pour G histoire que je puisse arriver à destination avec mes propres tour du cou intactes (il a une grande passion pour tout ce que je porte autour de mon cou!).
Mais surtout détendez vous, vivez au rythme de vos enfants et vous verrez, tout va bien se passer, et au pire on oublie vite une fois arrivé à destination....